Nos élèves de 3ème ont reçu samedi 27 janvier le sacrement de confirmation à Versailles . Ils vont penser souvent à ce moment, y réfléchir, continuant ainsi à actualiser la force du Saint-Esprit dans leurs vies, à faire fructifier ses dons. Quand on laisse la place à l’Esprit de Dieu dans son existence, on constate sa fécondité, sa présence en tant que guide de notre vie et gage d’une authentique liberté.
Merci à toute l’équipe pastorale qui les a préparé !
L’AS athlétisme s’est rendue à Antony pour le championnat de comité minime et le championnat d’ile de France Cadet le mercredi 2 avril 2025.
Sous un grand soleil et dans des conditions idéales, les jeunes ont brillamment réussies leur championnat en récolant de nombreuses médailles.
Mention spéciale à Marius, Elisa et Quentin qui ont participé en tant que jeune officiel.
Bravo à eux. Ils font la fierté de l’établissement et de leur professeur d’EPS.
La Semaine des Langues fut cette année un événement incontournable à SFA. Nous avons célébré la richesse et la diversité des langues et des cultures du monde entier. Cette année, les élèves ont eu l’opportunité de participer à une série d’activités ludiques et pédagogiques visant à renforcer leur ouverture sur le monde, leur compréhension interculturelle et à développer des compétences linguistiques variées.
À travers une multitude d’activités créatives et interactives, ce projet permet non seulement de promouvoir l’apprentissage des langues étrangères, mais aussi de valoriser l’expression personnelle, la créativité et l’esprit de groupe dans un cadre ludique.
L’une des ambitions majeures est d’encourager l’expression orale et écrite dans plusieurs langues. En exposant les élèves à différentes cultures, l’événement leur permet de découvrir d’autres modes de vie, traditions, coutumes et façons de penser.
Durant cette semaine spéciale, les élèves ont été plongés dans une atmosphère conviviale et festive. Chaque jour était ponctué par des activités variées, permettant à tous de s’impliquer.
Chanson en plusieurs langues
L’une des premières activités a consisté à la création d’une chanson, Toi + Moi de Grégoire, que les élèves ont interprété en plusieurs langues. Ce moment a été particulièrement apprécié, car il a permis à chacun de découvrir des sonorités provenant de différents horizons, tout en travaillant la prononciation et l’écoute active des langues étrangères. Chaque classe a ainsi pu représenter sa spécialité.
Flashmob au lycée
Un autre point fort de la semaine a été le flashmob multiculturel. Les élèves, de tous âges, se sont réunis pour une danse collective rythmée sur des morceaux musicaux. Cette activité a renforcé l’idée d’unité, tout en favorisant la coordination, l’esprit d’équipe et le plaisir de danser ensemble.
Stands interactifs au lycée
Des stands thématiques ont été installés dans le hall du lycée. Ces stands, animés par le BDE, étaient dédiés à la présentation de différentes langues et cultures. Chacun pouvait découvrir des informations sur les coutumes, les traditions, la gastronomie ou encore les spécificités linguistiques de pays comme l’Espagne, l’Allemagne, l’Angleterre, ou encore l’Italie.
Initiation aux langues maternelles
Au collège, lors des cours de langues, les élèves ont pu initier leurs camarades à une langue vivante qu’ils maitrisent. Ce fut l’occasion d’apprendre à connaitre l’autre, de découvrir de nouvelles cultures.
Repas thématique
Pour immerger davantage les élèves, un repas thématique était proposé chaque jour au self, offrant une variété de plats inspirés de diverses régions du monde. Les élèves ont pu goûter à des spécialités culinaires provenant de différents pays, une manière ludique de voyager tout en éveillant leur curiosité culinaire.
Représentation de danse au collège
Une représentation de danse a également marqué cette semaine. Les élèves ont eu l’opportunité d’assister à un spectacle de danse traditionnelle de flamenco espagnol. Cela a été l’occasion de faire découvrir la diversité de ce style de danse, musique et chant tout en valorisant la pratique artistique.
Décoration des couloirs et les sonneries
Les couloirs de l’établissement ont été magnifiquement décorés pour l’occasion, avec des affiches, des drapeaux et des objets typiques représentant chaque pays. Ces décorations ont permis aux élèves de s’investir activement dans cette semaine des langues et leur a rappelé l’importance de la diversité culturelle. Chaque jour, la sonnerie était modifiée l’espace d’un jour : une chanson typique d’un pays par jour de la semaine.
Déguisements pour la Saint-Patrick au collège
Pour la journée Irlande, une journée déguisements a été proposée spécialement pour la Saint-Patrick. Chaque élève était invité à se déguiser dans les couleurs du drapeau irlandais. Cet événement a offert une belle occasion de montrer la richesse des costumes et des traditions.
La Semaine des Langues a été un véritable succès, permettant à tous les participants de vivre une expérience enrichissante. Grâce à la diversité des activités proposées, les élèves ont pu développer une meilleure compréhension des langues et des cultures, tout en renforçant leur capacité à s’exprimer dans des contextes variés. Ce projet pédagogique illustre parfaitement l’importance de l’apprentissage des langues étrangères dans la construction d’un monde plus solidaire. La Semaine des Langues est désormais un rendez-vous incontournable, célébrant la diversité et l’ouverture à la culture.
C’est à l’aéroport nouvellement nommé Paris Saclay Versailles de Toussus Le Noble, que la classe BIA est accueillie sous le soleil par la sympathique équipe d’Aviation Sans Frontières pour un programme complet :
Une journée pleine de partage et d’enseignement qui va sans doute voir naître des vocations.
Durant le mois d’avril, la classe de 4ème4 a eu le privilège de vivre une journée passionnante à Paris, consacrée à la découverte du Paris haussmannien. Un programme riche en histoire, en architecture et en beauté, à travers quelques-uns des monuments les plus emblématiques de la capitale.
Les célèbres Galeries Lafayette, un lieu incontournable du shopping parisien. Au-delà des achats, c’est aussi un magnifique exemple de l’architecture du 19ème siècle, avec sa coupole en verre et son esprit « Art Nouveau ». Les élèves ont pu admirer la grandeur du bâtiment et ses détails architecturaux, qui incarnent parfaitement le style haussmannien.
L’Opéra Garnier, un chef-d’œuvre de l’architecture classique du Second Empire, qui a fasciné les élèves par son luxe et son imposante façade. Notre visite avec audioguide nous a permis d’en apprendre plus sur l’importance de cet édifice dans l’histoire de Paris, ainsi que ses liens avec la musique, le théâtre et l’art en général. Les élèves ont été particulièrement impressionnés l’escalier monumental.
L’avenue de l’Opéra, une artère emblématique du Paris haussmannien. En se promenant le long de l’avenue, les élèves ont étudié les façades des immeubles qui l’entourent, tous conçus dans le style haussmannien. Ces immeubles, avec leurs balcons en fer forgé et leurs toits en zinc, sont des exemples parfaits de l’aménagement de Paris sous le préfet Haussmann.
Le jardin des Tuileries, un véritable havre de paix en plein cœur de la capitale. Cet espace vert, qui remonte à l’époque de Louis XIV, offre une belle perspective sur la ville. Les élèves ont profité d’une promenade tout en étudiant les caractéristiques du jardin à la française, avec ses allées symétriques et ses sculptures.
L’étude de la façade du musée d’Orsay, un bâtiment anciennement une gare, devenu un temple de l’art impressionniste. Les élèves ont analysé la transformation de cette gare en musée, tout en admirant l’architecture de cette grande horloge et les éléments qui rappellent l’époque industrielle du XIXe siècle.
Au cours de cette journée, les élèves de la 4ème4 ont non seulement découvert l’architecture unique du Paris haussmannien, mais ils ont aussi appris à observer et à comprendre les éléments qui composent la beauté et l’histoire de cette ville. Une expérience enrichissante qui a éveillé leur curiosité pour le patrimoine parisien et son évolution au fil des siècles.
Les élèves volontaires de 4ème, ont récemment plongé dans un monde d’étrangeté, de mystères et de créatures surnaturelles à l’occasion du tout premier concours de nouvelles organisé au collège Saint-François d’Assise. Une aventure littéraire passionnante qui a permis aux élèves de libérer leur imagination, tout en respectant les codes du genre imposé, le fantastique.
Lancé par les professeurs de Français, ce concours avait pour but de faire découvrir le genre fantastique de manière ludique et créative. Après avoir étudié des textes classiques et contemporains, les élèves ont eu carte blanche pour écrire leur propre nouvelle. Frissons garantis !
Le défi ? Écrire une histoire où le réel bascule peu à peu dans l’étrange, où le doute s’installe, et où le surnaturel fait irruption dans le quotidien, à la suite des deux premières phrases imposées : « Mon chat l’avait su avant tous les autres. Les yeux plissés, alerte, il épiait la maison entourée d’un jardin en friche que je venais d’acquérir. ».
Les jeunes auteurs n’ont pas manqué d’imagination. Chaque texte a su mêler suspense, tension, et parfois même une touche d’humour noir.
Après délibération, le jury a tenu a récompensé les 40 candidats. Cinq nouvelles se sont distinguées par leur originalité, la qualité de leur écriture et leur maîtrise du genre.
Mon chat l’avait su avant tous les autres. Les yeux plissés, alerte, il épiait la maison entourée d’un jardin en friche que je venais d’acquérir. Elle n’était pas en très bon état, quelques tuiles manquaient, des fenêtres étaient cassées, d’étranges griffures barraient certaines pierres, et l’étendue herbeuse sentait fort le chien, c’était d’ailleurs sûrement cela qui avait mis sur ses gardes mon brave compagnon.
« Bonne chance ! » me dirent les habitants du petit hameau qui m’avaient montré la demeure, avant de repartir. En effet, une superstition locale disant qu’un loup-garou logeait sans permission dans cette habitation en si piteux état. C’était d’ailleurs pour cela qu’il y a quelques mois, je l’ai acheté à son propriétaire qui n’osait plus y aller depuis la création de la légende : pour prouver à tout le monde que l’on ne risquait rien.
C’est sur cette pensée que je sortis mes clefs de ma sacoche mais…avant d’avoir eu le temps de les enfoncer dans la serrure, la porte s’ouvrit brutalement, faisant sursauter mon animal domestique. Dans l’encadrement se trouvait un homme d’au moins deux mètres de haut, d’une barbe d’une vingtaine de centimètres, avec des sourcils en bataille et des sourcils qui formaient deux épis au-dessus de sa tête. Ses petits yeux couleur noisette me fixaient avec une couleur bizarre. Qu’est-ce que cet inconnu faisait chez moi ? En se prenant pour le maître des lieux, et moi comme un homme d’état qui vient réclamer les impôts non payés ? Ou comme un simple facteur venant déposer un colis ? La situation s’éclaircit quand il me dit : « vous êtes le fameux nouveau propriétaire dont j’ai entendu parler ? »
Mais quelques mois plus tard, il mettait à vendre sa maison sans s’y être approché depuis longtemps et vous voilà ici cinq mois après. Mais entrez, je vous en prie !
J’entrai donc enfin, suivi de mon chat. La période qu’il citait dans son récit coïncidait avec l’histoire de loup-garou de voisin. Certes, l’homme avait un air de chien sauvage, mais pas au point de créer des rumeurs surnaturelles, non ?
Nous discutâmes un peu de manière courtoise, mon brave félin gardant la porte. Je dis que je commençais à avoir faim, et tout-à-coup le comportement de l’étranger changea du tout au tout : il passa de « faux » maître de maison, comme diraient les romains, à serviteur. Il ouvrit la glacière qui lui servait de frigo, et me servit un sorte de saucisson. « Pardonnez-moi, Monsieur, mais c’est tout ce que j’ai. » s’expliqua-t-il.
Je mangeai donc cette viande, malgré le fait que je l’aurais préférée un peu moins sèche. « Il est sûrement en train de me prouver qu’il peut m’être utile, mais je n’ai en aucun cas besoin de serviteurs », pensai-je, « mon adorable chat de garde me suffit ». Je me demandais comment le faire partir sans l’outrer lorsqu’il me demanda soudainement : « La lune est belle ce soir, ne trouvez-vous pas ? «
Je sortis de table pour regarder à travers la fenêtre. La pleine lune était haute, dominant une petite forêt.
« Cette forêt est au hameau ? le questionnai-je en ignorant ses paroles précédentes.
Je finis donc en vitesse mon en-cas qui l’homme qualifiait de « repas », et je le suivis en dehors de la maison, mon compagnon poilu sur les talons.
La fameuse forêt était sombre et lugubre. Je marchais d’un pas hésitant, malgré la rassurance que me procurait la présence de mon super associé à quatre pattes. D’où me venait cette frayeur soudaine ? Était-ce le fait étrange que mon guide connaissait les lieux comme sa poche ? Je ne sus répondre à mes questions intérieures.
Après quelques minutes, l’homme imposant qui éclairait le chemin de sa lampe torche, me dit qu’il devait me laisser un moment pour des besoins urgents. Je me retrouvais donc seul avec mon chat et le hululement d’un hibou. La forêt paraissait d’autant plus terrifiante. Mais tout à coup, un hurlement de loup résonna et me parcourut d’un immense frisson. Quant à mon équipier de fortune, il s’enfuit en courant !
Après un instant d’hésitation, je me lançai à sa poursuite : tant pis si je me perdais, le mystérieux homme me retrouverait ! Malheureusement, mon chat était trop rapide que moi, et je le perdis vite de vue. Essoufflé, j’arrêtai de courir et je me mis à crier : « Marcel ! Reviens ! ». Il me répondit par un miaulement de souffrance.
Songeant que le pauvre félin devait être blessé, je repris ma course effrénée en zigzagant entre les grands arbres. Que lui était-il arrivé dans cette terrible forêt ? Je le trouvai enfin, un centaine de mètres plus loin. Il était au sol, lacéré d’une effrayante griffure, et ne bougeait pas. La peur à son paroxysme, je me mis à le secouer, à le secouer de plus en plus fort en bégayant : « Marcel… Marcel ! Réponds-moi ! » J’allais tenter un massage cardiaque quand soudain, il remua les moustaches : il n’était pas mort !
Je bandais sa griffure avec les moyens du bord, puis je me rendis compte de quelque chose : j’avais l’horrible impression d’être observé. La créature, sûrement un loup soit dit en passant, qui avait blessé mon chat, devait encore être dans les parages. Je regardai dans tous les sens et mes yeux s’arrêtèrent à une ombre plus noire que les autres qui se trouvait derrière un arbre. Derrière cette plante, des yeux de la même couleur que ceux de mon guide me fixaient, appartenant à un monstrueux canidé.
Poussé par la peur, je mis mon animal endormi sur mes épaules et je courrai aussi vite que mes dernières forces me le permettaient. J’entendis la bête derrière moi. « Les loups-garous n’existent pas », répétai-je en boucle sans y croire un mot après ce que j’avais vu. Mais je trébuchai, exténué, et avant de tomber dans les pommes, j’entendis la voix mielleuse de mon guide : « pourquoi cours-tu ? Cela fait longtemps que je vous cherche ! » Puis…
Trou noir. Je me réveillai dans un lit d’hôpital, où l’on me dit que j’étais resté dans le comas pendant deux jours, et que le grand homme qui m’avait amené avait emmené mon chat blessé chez un vétérinaire compétent.
Auteur, Jade Le Bris
Face à l’enthousiasme général, ce concours pourrait bien devenir une tradition annuelle. Les élèves ont non seulement développé leur créativité, mais aussi appris à structurer un récit, à manier le suspense, et à jouer avec les émotions du lecteur.
Le 27 Mars, nos élèves de 5ème 4 et 5ème 6 se sont rendu au Théâtre Montansier à Versailles pour y découvrir la pièce Mille francs de récompense de Victor Hugo.
Mille francs de récompense est un drame en quatre actes écrit par Victor Hugo en exil à Guernesey : quatre ans après Les Misérables, il reprend le thème de la fatalité sociale, traité avec humour grâce au très beau personnage de Glapieu, un voleur qui incarne paradoxalement la justice.
La pièce a été publiée en 1934 et représentée pour la première fois en 1961, mise en scène par Hubert Gignoux à la Comédie de l’Est.
L’argument :
Un hiver glacial et enneigé des années 1820, à Paris. Pourchassé par la police, en cavale, Glapieu se réfugie dans un appartement sinistre où vivent Zucchimo, un vieil homme ruiné et malade, sa fille et sa petite-fille. Arrive Rousseline, agent d’affaires d’un riche banquier, le baron de Puencarral. Au nom de son patron, et pour une dette inférieure à quatre mille francs, Rousseline, accompagné d’huissiers, va faire procéder à la saisie des meubles. Mais il a un projet en tête et propose un marché aux deux femmes : il renoncera à la saisie, en échange de la main de Cyprienne….
Dans le cadre de leur projet sur « Lieux de mémoire / Devoir de mémoire », mardi 08 avril, les 1ères1 et 3 se sont rendus à Loigny-la-Bataille.
Il s’agit d’un village où ont eu lieu des affrontements entre Prussiens et Français le 2 décembre 1870 et qui a fait 9 000 tués ou blessés. Les élèves ont ainsi pu se promener sur le champs de bataille et voir des reconstitutions avec des tablettes numériques. Ils ont également visité le musée qui regroupe de nombreux objets récupérés sur le champs de bataille. Ils ont terminé par la visite de l’église mémorielle avec son ossuaire. Les élèves ont pu profiter d’un pique-nique champêtre printanier lors d’une pause au soleil.
Au programme :
Lundi : Nous avons commencé le séjour tranquillement avec la visite du Colisée le matin et la visite du Forum l’après-midi.
Mardi : Une journée bien remplie avec la découverte de Piazza Navone, Piazza de Spagna, l’église Trinité des Monts et l’église du Gesu en une seule matinée. L’après-midi, c’était l’église Saint Louis des Français et la montée au Pincio.
Mercredi : Nous avons visité la basilique Saint Pierre et le château Saint Ange. L’après-midi était dédiée à l’Ara Pacis.
Jeudi : La journée de jeudi a commencé avec la visite des Catacombes de Saint Callixte le matin puis nous avons continué avec les Musées Capitolins l’après-midi.
L’organisation :
Pour les repas, c’était globalement pâtes en entrée, puis plat de viande ou déjeuner libre avec panini ou pizzas. Le petit plus ? Glaces tous les après-midis grâce au beau soleil que nous avons eu !
Niveau hébergement, nous étions logé dans un hôtel près de la gare Termini, ce qui nous a permis de TOUT faire à pied : 16 kms de marche en moyenne par jour.
Les élèves ont participé à un atelier sur le thème de la domestication des plantes, au programme de la terminale.
Ils ont ensuite découvert les serres de culture, les chambres de culture stériles sur milieu artificiel. Ils ont visité les laboratoires, découvert du matériel de pointe en génétique ou en observation.
L’ensemble de la visite était commenté par une chercheuse qui a pu également parler de son travail, des différents niveaux de recrutement et évolution de carrière à l’INRAE.
Cette visite très intéressante et appréciée des élèves a suscité beaucoup de questions pertinentes. Une expérience à renouveler l’an prochain.
Engagé pour l’environnement : compensation de l’impact carbone de notre site internet En savoir +
